Episode 3 : Partie 17

Publié par Moi sur 16 Octobre 2014, 21:24pm

Catégories : #Episode 3

Hé hé hé, me revoilà avec la partie 17 !! En espérant qu’elle soit à la hauteur de votre attente, je vous souhaite chers lecteurs une très bonne lecture :p. Et n'oubliez pas de laisser votre marque en bas de la page. Bonne nuit à vous :).

Liberté retrouvée

Bonne nuit ma chérie, dit Angela à sa fille tout en la prenant dans ses bras.
Oh, maman, râla la policière écrasée entre les bras de sa mère. Bonne nuit maman, dit-elle finalement en s’extirpant difficilement de la prise d’Angela.

La doyenne des Rizzoli se tourna vers Maura et sourit en réitérant le même geste qu’elle avait fait à sa fille quelques secondes plus tôt. Une fois les aux revoir effectués, Jane ferma la porte en laissant échapper un léger soupir de soulagement. La maison de Maura avait été assailli de monde ces dernières heures qui était venus accueillir la policière après l’issus favorable de son procès. La « fête » s’était étendue jusqu’au début de la soirée. Seuls Franckie, Angela, Tommy, Korsak, Frost, T.J. ainsi que Cavanaught étaient restés pour le diner. La mère de Jane était la dernière à partir, ne voulant plus quitter sa fille ou laisser Maura seule. La policière avait dut user de ruses pour déloger sa mère. Etant finalement arrivé à ses fins, Jane adossée à la porte d’entrée, se retrouva enfin seule avec la légiste.

Où en étions-nous ? taquina Jane en lançant un regard coquin à son amie.
Si je me souviens bien, commença la légiste sur un ton énigmatique en s’approchant de Jane. C’était approximativement quelques choses de ce genre, continua-t-elle en se hissant sur la pointe des pieds pour être à la même hauteur que la policière afin d’humidifier ses lèvres des siennes.

Sans aucune hésitations, la policière répondit à la demande de son amie en approfondissant leur baiser. Maura s’agrippa aux épaules du lieutenant, qui s’accordait à lui déboutonner lentement son chemisier. Sans rompre leur contact, les deux femmes s’avancèrent vers l’escalier. Soudainement la légiste s’échappa de la policière.

Je te retrouve en haut, s’amusa-t-elle en montant rapidement les marches à cloche pied.
Tu penses y arriver avant moi ? blagua la policière, en suivant du regard la jeune femme dont le chemisier était presque entièrement défait.
Oui, ça j’en suis sûre ! s’exclama la légiste. J’ai l’impression que quelque chose retient ton attention, tu n’as pas l’aire de vouloir bouger, s’amusa-t-elle arrivant en haut des escaliers.

Retrouvant la mobilité de ses jambes qui s’était soudainement évaporée à la vue d’une Maura plus sauvage, et plus dévêtue qu’elle ne l’avait jamais vue.

J’arrive ! grogna la policière d’une voix beaucoup plus roque et sensuelle qu’à son habitude qui eut le don de faire frémir la légiste qui l’attentait en haut des marches.

* * *

! ! ! HOT HOT HOT ! ! !

Cette partie comporte des descriptions pouvant choquer les plus jeunes.

* * *

Jane s’élança dans les escaliers pour se précipiter vers son amie qui n’eut pas le temps de comprendre quoi que ce soit avant d’être littéralement plaquée sur le mur devant sa chambre. Ce baiser devenait beaucoup plus avide que le premier, il faisait sentir l’ivresse des deux femmes qui peinaient à ouvrir la porte de la chambre.

Lorsqu’elles y furent enfin arrivées, elles se jetèrent sur le lit. Jane prit les devant en agrippant les poignets de la légiste pour l’immobiliser sous elle. Le corps de cette dernière étant bloqué entre les cuisses de la policière. Elles prirent le temps de continuer leur baiser, tout en découvrant chacune chaque passerelle de vêtement de l’autre. La policière passa ses mains sous le chemisier de son amie, pour découvrirent les courbes qui se cachaient derrière celui-ci, glissant ses paumes scarifiées jusqu’à la poitrine de la légiste. Le chemisier de Maura vola dans la pièce, la scientifique s’afférait maintenant sur le haut de la détective pour le lui ôter.

Les deux femmes dont le haut du corps n’était couvert que par leur sous vêtement, continuèrent de s’embrasser passionnément. Jane s’attarda à mordiller, sucer, lécher, taquiner chacune des parcelles de la peau de Maura qu’elle trouvait sur son chemin. Passant sur le menton de la légiste, sur le haut de son coup, pour arriver au niveau de ses clavicules puis sur la naissance de sa poitrine, prit le temps de se débarrasser du tissu qui comprimait celle-ci. Elle arrivait devant la pointe durcit par l’excitation du sein droit de son amie, elle le lui mordilla légèrement, avant de passer au gauche. Suite à cette pression sur les bouts sensible de sa poitrine Maura gémit légèrement tout en sentant entre ses cuisses l’émoi de leur étreinte. Bien qu’émoustiller, la légiste s’éternisa pour retirer voluptueusement le soutient gorge qui étriquait les seins de la policière. Une fois le tissu disparut, elle recopia les gestes que son amie lui avait faits sur les pointes durcies de la détective qui se trouvaient devant elle.

Lâchant quelques secondes leur étreinte pour se défaire de leurs chaussures et de leur bas de vêtement, les deux femmes reprirent leurs ébats. Cette fois ci la légiste domina la policière qui se retrouva prisonnière entre les jambes serrés de la scientifique, n’ayant chacune qu’un fin tissu qui séparaient leur intimité. Maura se suinta sur la gorge de son amie, pour y marquer son passage. Leurs bassins respectifs s’accouplèrent en harmonie de léger va et vient. Lentement, la légiste s’écoula vers le buste de la détective pour emprisonner l’un des mamelons de celle-ci entre ses dents, s’accordant à le taquiner de plus en plus enfin d’entendre distinctement les soupirs rocailleux de Jane. Lorsqu’elle fut satisfaite de l’état de la policière, elle descendit vers son nombril traçant de son index plusieurs cercles autour de celui-ci. Puis glissa silencieusement sous le fin tissu qui couvrait encore l’intimité transpirante de la détective afin de le lui soustraire.

La respiration de Jane devint de plus en plus précipité au fur et à mesure que la légiste approchait de l’endroit hardent. La scientifique regarda la policière dont les pupilles étaient dilatées par son enivrement. Jane la supplia du regard pour l’inciter à continuer. Après cet accord visuel, la scientifique se promena progressivement vers le clitoris gonflé et trempé de son amie. Elle y faufila d’abord ses doigts, à ce contact le bassin de la détective se leva légèrement en signe d’affamement. Maura se redressa vers Jane et engloutit les gémissements de celle-ci dans sa gorge en l’embrassant. Tout en accentuant l’agilité de son doigté elle embrassa langoureusement la policière, cherchant à l’amener là où elle le souhaitait.

Soumisse aux mouvements de Maura, la détective émit des râlements du tréfonds de sa gorge bouillante de plaisirs. La scientifique stoppa tout mouvement, et descendit vers l’intimité de la policière. Elle y trouva une muqueuse fleurie dont elle goba le bourgeon entre ses lèvres humides, goutant la sève de la détective, appréciant le parfum de celle-ci. Elle sentit les mouvements saccadés du corps de cette dernière pendant son exploration.

Puis elle entendit Jane peiner à articuler son prénom lors des soubresauts du bassin de la policière. Cette réaction ne fit qu’accentuer l’envie de Maura qui aspira la chaire qu’elle maintenait dans sa bouche. Jane s’agrippa aux draps, ses muscles se raidirent, ses cuisses se refermèrent sur le visage de la légiste qui accéléra sa cadence. Le diaphragme de la détective se bloqua, l’aire qui s’échappa de sa gorge se transforma en hurlements roques dont l’on devinait quelques syllabes. Dans un dernier soubresaut la policière attrapa Maura pour l’embrasser à pleine bouche afin de s’y gouter sur ses lèvres.