Episode 3 : Partie 18

Publié par Moi sur 15 Février 2015, 21:10pm

Catégories : #Episode 3

Bonjour ! Enfin Bonsoir !

Je sais ça fait un bon moment que je n'ai plus donné signe de vie mais je suis de nouveau là malgré internet qui fait sa vie (je suis là, je suis plus là x)) et mon pc lui est en fin de vie.

Enfin bref, je ne vous ai pas oublié même si certain d'entre vous m'ont surement oublié (et je comprends). Même si certain d'entre vous me haïsse parce que je ne poste plus depuis un moment. Mais bon, j'ai une vie aussi (enfin je crois ... Sisi, je vous jure je l'ai vu passé en me disant "Je me casse") Bref je suis pas là pour raconter ma vie (ou ma non vie).

Mais je suis là pour vous présenter la partie 18 de l'épisode 3 !!! OOOOOUUUUIIII enfin !! (je vais pas vous mentir je l'ai écrite aujourd'hui, je sais pas c'est peu être l'épisode 13 de la saison 5 :D qui va arriver qui m'a rappeler que j'avais crée ce blog. Enfin qui sait ? X)).

Donc la voilà, cette partie que je ne pensais pas écrire un jour mais qui est arrivée là comme ça. Ça tombe bien parce que ça fait un moment que j'ai tracé ma prochaine intrigue mais que j'ai buggé (oui oui en même temps que mon ordi et mon internet x)).

N'hésitez pas en me dire ce que vous en penser (j'ai la 3G sur mon portable je peux lire mes mails, trop moderne la fille lol x))

Bonne lecture (enfin j'espères)

J'oubliais, contenu pour public adulte et averti (venez pas vous plaindre) Ah oui et les homophobes, je crois que vous vous êtes carrément planté de blog (enfin j'espères que vous l'avez remarqué) RIZZLES off course :D

Partie 18 ____________________________________________________________________________

Lendemain

Aux premières heures de la matinée, la légiste se retourna dans son lit, un grand sourire fixé sur ses lèvres en se souvenant que sa meilleure amie avait joui grâce à celles-ci. Sa pointe gauche frissonna et s’affermit, lorsque son sein effleura la peau nue de la détective encore endormie.

Envoûter par la policière, Maura ne put s’empêcher d’embrasser la peau qui la faisait trépigner. Elle revisita cette peau brune entachée par quelques cicatrices, arrivée au niveau de la poitrine de Jane. Cette dernière ouvrit les paupières. En comprenant ce que faisait son amie. Elle l’arrêta.

Maura l’a regarda troublé, légèrement blessé, n’arrivant pas à déchiffrer le geste de son amie. Jane lui lança un sourit libertin :

Non, non, Maura, taquina la policière devant la mine déconfite de la légiste. Ce matin, continua Jane en s’approchant de Maura. Ce matin, répéta la détective d’un ton rocailleux tout en se plaçant sur la légiste en la fixant. C’est ton tour, grogna-t-elle en emprisonnant les lèvres de la légiste avec les siennes.

En comprenant ce que sa meilleure amie voulait dire, son cœur se desserra et s’emplit d’une envie bouillonnante face à la convoitise de la policière. La faisant déjà mouiller avant même que la détective ne commence son expédition.

Jane confina la légiste sous elle et entrava les mains de celle-ci au-dessus de sa tête. Son intimité fixée sur l’abdomen de son amie qui ne put que sentir son ruissellement. Mais Jane ne s’attardait pas sur la réclame de son corps.

Maura contemplait conquisse la poitrine qui durcissait devant ses yeux. Elle s’empara du sein droit de Jane de sa main gauche. Elle commença à se redresser pour le capturer entre ses lèvres, mais la détective la plaqua sur le matelas.

J’ai dit, toi, et seulement TOI, réprimanda la policière en lui croquant le cou.
Jaanne, plaignit Maura en voulant de nouveau attraper le mamelon de la détective.

Jane l’ignora, et recommença son exploration. Plus rapidement cette fois ci. Ses mains s’évertuant à palper chaque fragment de peau. Sa bouche suivant le sillage de celles-ci. Lorsqu'elle arriva au lieu désiré. Elle s’arrêta et observa Maura, pour considérer sa réaction.

Les yeux mi-clos, la légiste se délecta du passage de la détective sur sa peau, mais lorsque Jane ne se fit plus sentir, elle grogna de frustration. Et ouvrit les yeux pour fixer la policière.

Jane ! se plaignit-elle en se cabrant, Jane !, supplia-t-elle, voyant l’hésitation de la policière, elle écarta un peu plus ses jambes pour dévoiler son intimité ardente.
Tu es sûre ? demanda Jane.

La légiste approuva en la suppliant du regard. Une fois certaine de la volonté de la légiste, Jane continua son sillage. Sa langue glissa autour des lèvres humides de Maura. Approchant sa main gauche, elle inséra un doigt dans l’ouverture trempée de la légiste qui se tortillait de plaisir. Elle y entra un deuxième, et commença un va-et-vient rythmé tout en stimulant le clitoris de son amie.

Tout en restant dans l’intimité de la légiste, elle se redressa et l’embrassa suavement. Elle palpa de sa main gauche le sein que lui offrait Maura, tout en accélérant sa cadence.

Maura les joues rougies gémissait bruyamment en fixant les pupilles de Jane qui la dévoraient aux portes de son orgasme. Avant qu’il n’y arrive la légiste, s’approcha de Jane pour l’embrasser et lui susurrer à l’oreille « Je t’aime Jane … ». Mais lorsque la délivrance balaya la légiste, la policière n’avait pas dit son dernier mot.

Jane baissa sa tête et descendit de nouveau vers le bouton de plaisir de Maura. Celle-ci comprenant l’intention de la policière :

Jane, je ne pense pas que je pourrais, la prévient-elle alors que Jane glissa lentement sa langue dans la fente la légiste avant de la ressortir pour lui taquiner le clitoris. Oh, mon dieu ! s’exclama Maura les yeux écarquiller en sentant de nouveau une vague de plaisir assaillir le creux de ses reins. Putain ! Jane comment … , elle s’interrompit et gémit de luxure en sentant que Jane s’acharnait sur son point sensible pour l’amener vers un deuxième orgasme. Jane !! la respiration de Maura devient de plus en plus rare au fur et à mesure que son amie la stimulait.

La policière sentait son labeur porter ses fruits en réalisant que Maura se déferlait dans sa gorge. La femme fut assaillit de nouveau, le visage rougis, les yeux fermés, mais les lèvres fixer dans un sourire de bien-être.

Jane, souffla la scientifique en reprenant son souffle. Comment as-tu ? Je ne sens plus mes jambes, rigola la légiste. Jamais je … . Comment ?
Je t’aime aussi, Maura, répondit simplement la policière en l’embrassant chastement. Reposes-toi, sourit-elle. Je vais voir ce qu’il y a pour le petit déjeuner, ajouta Jane en se levant pour se rhabiller.
Jane, dit Maura en la retenant par la main, celle-ci se retourna et l’interrogea du regard. Merci, continua-t-elle simplement en la regardant pleine de gratitude. Je ne pensais pas que je pourrais après … mais grâce à toi.
Grâce nous, rectifia la détective en lui souriant sincèrement.
Grâce à toi, j’ai pu, et à ce point-là, et deux fois de suite. Je ne pensais pas que c’était possible, avoua la légiste.
Maura ! réprimanda Jane en souriant. On ne t’a jamais dit qu’il ne faut jamais vanter les ébats après la première fois, rigola la policière. Parce que pour ceux d’après je ne vais plus me surpasser dans ce cas-là, blagua la détective sous le regard désolé de Maura. Je plaisante, reprit-elle en lançant une bourrade à son amie. Toi aussi tu étais fantastique. Je ne te connaissait pas si sauvage Maur’, blagua-t-elle.
Hey !, s’offusqua la légiste. Je n’étais pas la seule dans ce cas, tu n’as même pas voulu que je te touche ce matin, réalisa-t-elle. Pourquoi ? Je t’ai fait mal hier ? s’inquiéta Maura, sous le regard hilare de la policière.
Mal ? ricana la policière. Mal ? répéta-t-elle. Tu n’es pas sérieuse Maura ? demanda-t-elle en voyant qu’elle était très sérieuse. Tu sais ce qu’on a fait Maura non ?
Euh, oui …
Et avais-je l’air d’avoir mal ? exposa-t-elle.
Je ne pense pas mais, je ne sais pas. Je t’ai fait mal ?
NON, mais ça va pas Maura, tu crois que je réagis comme ça quand j’ai mal ? Sérieusement Maur’ !
La réaction à la douleur est différente selon chaque individu, débita la légiste. De plus, la sexualité peut aussi faire mal par plaisir et inversement. Et je ne parle pas du masochisme sexuel. De plus un dérèglement neuronal, peut interférer et inverser les gestes de douleur en geste de plaisir et vice versa. Selon une …

Jane fixa son amie entre ahurissement et amusement avant de la couper.

Non, je n’ai pas eu mal, intervint Jane pour l’arrêter dans son laïus. Bien au contraire, et je ne suis pas déréglé des neurones ou je ne sais pas quoi Maur’, sourit-elle. Mais si tu veux essayer le masochisme sexuel, je ne suis pas contre, blagua la policière. Mais maintenant, je comprends pourquoi tu faisais fuir tes prétendants pendant tes rencards. Si tu discutes comme ça après l’amour. Ce n’est pas étonnant, rit la policière en se levant. Bon, cette fois, je vais vraiment voir ce qu’il y a pour le petit déj’, finit-elle en se rhabillant.

La policière descendit les escaliers et se rua sur le frigidaire pour voir ce qu’elle pourrait cuisiner. A peine eu-t-elle eu le temps de l’ouvrir que quelqu’un frappait à la porte. La détective regarda l’heure. Qui pouvait bien venir à 9h00 du matin. Mais lorsqu'elle ouvrit la porte, elle se répondit à elle-même « Ma mère bien sûre ».

Maman, qu’est-ce que tu fais ici ?
Je viens pour prendre le petit déjeuner avec vous les filles, enthousiasma Angela devant le regard effaré de Jane. Maura n’est pas encore levée ? s’étonna la mama Rizzoli en entrant dans la pièce pour aller vers la cuisine et déposer une assiette de pan-cake sur la table. Ainsi que le thé favori de Maura et le café instantané de Jane.
Si, elle est dans la salle de bain, je vais voir si elle a fini et lui dire que tu es là, dit la policière en s’éclipsant, non sans avoir attrapé son café pour le siroté.

La détective rouge pivoine se précipita dans les escaliers en laissant sa mère seule face à son assiette de pan-cake. Arrivée en haut elle, ouvrit la porte dans la foulée et articula difficilement :