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FANfiction rizzoli & isles

FANfiction rizzoli & isles

DISCLAIMERS : Rizzoli & Isles est une propriété de la TNT, Janet Tamaro et Tess Gerritsen. Fanfiction basée sur la série Rizzoli and Isles, cette fanfiction est une suite parallèle de la saison 3. _______________________________________________________________ Dans l'épisode 1, qui est divisé en 21 parties, Rizzoli, Isles et toute l'équipe enquête sur un tueur en série surnommé "L'arracheur". _______________________________________________________________ Episode 2 : "Nouveau départ" : Parties 1 à 21. (épisode terminé) _______________________________________________________________ Episode 3 : "Sous pression" : Parties 1 à 21 en ligne. (Episode terminé) _______________________________________________________________ PROCHAINEMENT : Première Partie de l'Episode 4. _______________________________________________________________ Episode 1 et 2 disponible en format Epub, en bas à droite de l'écran. _______________________________________________________________ RIZZLES _______________________________________________________________ Merci. _______________________________________________________________


Episode 3 : Partie 10

Publié par Moi sur 9 Mai 2014, 23:34pm

Catégories : #Episode 3

Me revoilà ! Avec la 10e partie de l'épisode 3. Vous le remarquerez, c'est une grande partie contrairement à d’habitude. ^^

Bonne lecture, et n'oubliez pas de commenter :)

Vidéos retrouvées

Maura se réveilla d’aplomb d’un sommeil sans rêves, cela ne lui était plus arrivé depuis un moment, Angela qui était toujours à son côté s’était endormie sur le fauteuil. Plus tard dans la matinée, Constance arriva au chevet de sa fille :

  • Mon dieu, Maura j’étais si inquiète ! s’exclama-t-elle en se ruant vers sa fille.
  • Ah oui ? ironisa Angela qui s’était réveillée. Il y a un mois, votre fille a été kidnappée et vous n’avez pas daigné venir à son chevet, lui rappela-t-elle.
  • Angela, devina Constance. J’étais à Pékin le mois dernier, pour un de mes vernissages, rétorqua-t-elle.
  • Et il a fallu que Maura soit kidnappée, agressée et qu’elle est un accident en l’espace d’un mois pour que vous veniez la voir ?, sortit Angela.
  • Angela, c’est bon, ce n’est rien, coupa gentiment Maura en posant une main sur le bras de la mère de son amie, alors qu’elle assistait à cet échange. Les deux femmes se retournèrent vers la plus jeune. La légiste semblait en meilleur forme que ces derniers temps. Mais bien que ses zygomatiques arrivaient à afficher un sourire sincère, on pouvait déceler aux fonds de ses pupilles l’ombre du chagrin qui la hantait.

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Gretchen fut transférée dans la cellule de Jane en milieu d’après-midi. Lorsque la femme blonde entra dans la cellule et découvrit sa codétenue, elle la fusilla du regard de haut en bas.

  • Encore toi ! grogna-t-elle en avançant dans la cellule alors qu’une gardienne refermait la porte derrière elle.

Jane ravala sa réplique en se demanda comment elle allait engager la conversation avec cette femme pour en arriver à Paddy. Elle se demandait aussi pourquoi celui-ci l’aidait, elle eut un sourire en coins en pensant que sa meilleure amie le lui avait surement demandé.

  • Ça te fait rire ? menaça sa codétenue en approchant son visage près de celui de Jane, les yeux écarquillés.
  • Non, mais ce qui est drôle c’est qu’on est du même coté, ironisa la policière. Enfin, Paddy est de mon côté et ainsi qu’Helen, sourit-t-elle en voyant le visage de Gretchen se décomposer.
  • Comment ça ? souffla-t-elle soudainement mal à l’aise.
  • Tu as très bien compris ce que je viens de dire, lâcha la policière qui ne savait pas si elle devait être rassuré d’avoir Gretchen de son côté ou pas.

Elles restèrent toutes les deux silencieuses et n’échangèrent aucun regards, jusqu’au moment où la porte de leur cellule s’ouvrit pour annoncer l’heure de la sortie.

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Cette partie est déconseillée aux plus jeunes et aux âmes sensibles.

  • Yes ! cria la voix de Frost qui raisonna dans tout le commissariat.

Tous les policiers présents se retournèrent intrigués vers le lieutenant. Ce dernier l’air gêné mima des excuses silencieuses.

  • Qu’est-ce que tu as ? s’inquiéta la voix de Korsak qui fit sursauter Barry.
  • J’ai réussi à décrypter l’une des vidéos, s’extasia le policier tout sourire.
  • On peut la voir ? s’impatienta le vieil homme.

Frost acquiesça et ouvrir la vidéo Mélinda.mov, une sombre pièce s’afficha sur l’écran de l’ordinateur. Une jeune femme, sans aucun doute Mélinda From, était recroquevillée sur une baquette, les poignets enchainés au mur quelques mètres plus haut. Plusieurs minutes défilèrent sans qu’aucun mouvement ni aucun son ne vint troubler la vidéo. Puis, Mélinda se releva doucement de la baquette l’air effrayée. Et soudainement une voix vint rompre le silence accompagnée de bruits de pas.

  • Tu es donc réveillée Mélinda, susurra la voix.

Un homme apparut à l’encadrement de la porte, et s’approcha de la jeune femme terrifiée.

  • Peter ! s’écria-t-elle en pleurs. S’il … s’il … te … plait, supplia-t-elle.

Les deux policiers étaient pétrifiés devant la vidéo, ils avaient une preuve, mais on ne voyait pas le visage de Torres sur cette vidéo, elle était trop sombre. Les deux policiers assistaient impuissants aux viols de la jeune femme qui dura plusieurs heures. Frost partit en courant vers les toilettes les plus proches, ne pouvant plus tenir face aux actes barbares qu’il venait de découvrir. Korsak qui était resté devant l’écran regardait avec dégout l’homme s’adonner à tous ses fantasmes interdits et illégaux sur sa victime.

Frost revint vers le policier aux cheveux grisonnant qui était planté devant l’écran de l’ordinateur. Korsak avait sur le visage une expression de dégout profond.

  • On ne peut rien en tirer de concret, on ne voit pas le visage de l’agresseur ! s’indigna le vieil homme. Je ne peux pas en regarder davantage, je vais redemander un mandat pour la boite postale de Torres, annonça-t-il en s’éloignant.

Frost, bien qu’il arborait un visage blême, ne s’avoua pas vaincu. Le jeune policier s’attaqua à la deuxième vidéo qu’il avait décryptée. Il passa plus de quarante minutes à visionner les agressions que la deuxième victime avait subies, avant de courir de nouveau vers les toilettes. Il fit de même avec la troisième vidéo, et il remarqua qu’il y en avait une quatrième. Il hésita avant de l’ouvrir, se doutant bien de l’identité de la victime qui se trouvait sur ces images. Il cliqua tout de même dessus en essayant de faire abstraction du fait qu’il connaissait le docteur Isles, il devait regarder cette vidéo pour aider sa coéquipière.

Le visage fermé, il vit la jeune femme faire comme les trois premières, elle se redressa et Torres descendit les marches :

  • Ah ! Tu es enfin réveillé, ne cherche pas à faire l'endormit, la caméra t'a filmé, je t'ai vu te redresser. commenta son tortionnaire.

Terrorisée, Maura se redressa, en gardant la tête haute.

  • Qu'est-ce que vous me voulez ?
  • Mais rien d'autre qu'un peu de plaisir ma chérie, juste un peu de plaisir. Mélinda, Mélinda, qu'est-ce que tu crois ?
  • Je m’appelle Maura !
  • Oh, tu sais, elles m'ont toutes dit ça, mais à la fin, elles se sont rendu compte de leurs erreurs.
  • Qui ça « elles », demanda la jeune femme d’une voix qui trahissait la panique qui naissait en elle.

Frost s’inquiétait sérieusement pour le docteur Isles, bien qu’il assistait à la scène à travers une caméra et qu’il savait que la légiste s’en était sortie presque indemne. Il était tout de même heureux que sa coéquipière ait liquidé ce monstre, surtout après avoir vue les vidéos des trois premières victimes.

  • Oh, ça n'a vraiment aucune importance tu sais, assura Torres en sortant de sa poche, un couteau de chasse.​
  • Vous ne vous sentez pas « homme » sans ce couteau ? Vous êtes qui ? Selon moi, vous êtes biastophile, érotophonophile, et fétichiste des dents. Je ne pense pas que vous soyez nécrophile ...

Le lieutenant se crispa lorsqu’il vit l’homme s’approcher de Maura qui était recroquevillée sur elle-même face au mur.

  • Je veux t'entendre crier chérie, vociféra Torres

Le policier devant son écran entendit la jeune femme crier car son agresseur lui avait tordu le bras dans le sens contraire à la normal.

  • Voilà qui est mieux, dit-il.

La jeune femme était à la disposition de l’arracheur, qui en profita pour attraper Maura.

  • Tu vas goûter à ça chérie, et après tu seras ma Mélinda.

Il attrapa Maura par les cheveux, et la força à approcher sa tête de son entre-jambe. La jeune femme, essaya de se débattre, mais se fut en vains, son tortionnaire allait avoir ce qu'il voulait. Frost détourna les yeux de l’écran ne tenant plus, la mâchoire crispée.

  • Nourris-toi, Mélinda, j'ai besoin de toi en pleine forme pour demain, susurra l’agresseur en tendant un plateau à la jeune femme meurtrie sur la banquette.

Choqué par ce qu’il venait de voir, il comprit mieux la réaction du docteur Isles quand elle s’était enfermée dans la morgue.

Maura était blottit dans le noir, elle tenait son bras cassé de sa main gauche. Et quelques minutes plus tard, on entendit le bruit de la porte qui s’ouvre ainsi que les pas dans les escaliers.

  • Comment tu te sens aujourd’hui ? susurra-il à son oreille. Tu ne réponds pas ? Cela veut dire que tu veux passer aux choses sérieuses ? Ok, donc tu veux jouer à ça, tu sais que tu ne pourras retenir tes cris lorsque tes os se briseront. déclara-t-il, en dévoilant une batte de base-ball qui était caché derrière son dos.

Torres abattit sa batte sur toutes les parties du corps de Maura qui hurlait de douleur. Puis l’homme lâcha sa batte, et attendit que le silence règne avant de dégrafer sa ceinture et de s’approcher de la jeune femme terrorisée qui supplia :

  • Non, pas ça, par pitié, pas ça, S’IL VOUS PLAIT, mais l’homme était déjà sur elle.

N’en tenant plus, Frost attrapa la première chose qui lui passait sous la main et jeta de toutes ses forces le pot à stylos qui se brisa sur le mur.

  • L’enfoiré ! hurla-t-il en ignorant les quelques personnes encore présente à cette heure tardive qui se tournaient vers lui.

Passant ses mains sur son visage blême et transpirant. Il avait envie de descendre lui-même le monstre qui avait fait ces horreurs à toutes ces femmes, au docteur Isles, à Maura, la meilleure amie de sa partenaire. Il ne se pardonnerait jamais l’égarement qu’il avait fait preuve dans ce maudit bar.

La vidéo continuait, il entendit des murmures incompréhensibles du docteur Isles. Et quelques minutes plus tard, la vision était cachée par le gilet que la jeune femme venait de jeter sur la caméra.

Le son était toujours d’actualité, ce qui lui permit d’entendre la voix de sa partenaire :

  • Maura ? C’est toi ? chuchota Jane.
  • Mmmm… gémit la voix de Maura
  • Maura ? dit Jane.
  • Hein ? C’est toi Jane ? bégaya la jeune femme.
  • Maura ! s’exclama la voix de la policière. Est-ce que tu vas bien ?
  • Euh, oui, j’ai juste quelques bleues.
  • Qu’est- ce qu’il t’a fait ? s’enquit la voix de Jane.. Il t’a … ? il t’a … ?,

Le silence qui régnait ensuite laissa choix de la réponse silencieuse de la légiste.

  • Jane, commença la voix brisée de la légiste meurtrie. Tu peux, tu peux, … . Il a mis … une … une caméra dans … dans la pièce. bredouilla-t-elle. Tu peux, s’il te plait. Tu peux … détruire les vidéos … qu’il a prises … pendant qu’il … qu’il … qu’il … balbutia-t-elle avant de partir en sanglots.

Quelques secondes plus tard la voix tremblante de Jane répondit :

  • Oui, oui, bien sûr, Maura, je vais les détruire une fois que je t’aurais détachée. Les secours vont bientôt arriver, … .
  • Non, Jane, s’il te plait fait le maintenant, dit la voix plus tenue de Maura. S’il te plait, je ne veux pas que tout le monde sachent … ce qui m’est arrivé, … ce qu’il m’a fait, implora-t-elle. Je ne peux pas, … cela n’a pas pu m’arriver, … cela n’a pas pu m’arriver, Le policier qui assistait à cette scène semblait bouleversé, il tournait et retrouvait devant l’ordinateur en signe d’agitation.
  • D’accord, j’y vais tout de suite Maura, j’y vais tout de suite, répondit la policière par-dessus la voix de la légiste qui répétait : « cela n’a pas pu m’arriver, … cela n’a pas pu m’arriver. »

Après quelques instants de silence, Frost entendit au travers de la vidéo un coup de feu et des chaines qui tombaient sur le sol.

  • Jane, tu peux me sortir de là, s’il te plait ?
  • Bien sûr Maura, bien sûr, la rassura-t-elle. Prends mon bras.

Frost devina que les deux femmes étaient sorties de la pièce car il n’entendait que les bruits de pas de ces dernières s’éloigner. Il faisait les cents pas devant son ordinateur, cette vidéo était la preuve irréfutable que Torres était l’arracheur. Mais pour cela il faillait qu’elle soit diffusé au tribunal devant plusieurs personnes. Il ignorait si le docteur Isles pourrait survivre après cela. Il se tenait la nuque lorsqu’il entendit la voix lointaine de sa coéquipière dans la vidéo :

  • Lâchez votre arme Torres !, hurla Jane.
  • Vous ne me la prendrez pas, Mélinda est à moi ! beugla la voix de l’homme.

Il entendit ensuite distinctement trois coups de feu après les éclats de voix.

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S
Très bon chapitre comme d habitude. Mais ça commence a faire un petit moment que tu en as pas posté un nouveau :) Je sais je suis très impatiente :) Ne t inquiète pas prends ton temps !
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C
Vraiment tiujours aussi bien. Vive la suite
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3
tout comme mili, j'attendais le nouveau chapitre avec une grande impatience et c'est avec une impatience redoublée que j'attends le suivant ^^<br /> Bon boulot en tout, ta fic est sans doute la meilleure que j'ai lu jusqu'à maintenant. Continue surtout :D
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M
ahahah je l'attendais... merci pour la mise a jour...<br /> impatiente de lire la suite ;)...
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A
J'adore, vivement la suite !
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