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Tout d'abord, merci pour vos reviews, ca fait toujours plaisir :).
Je vous présente donc la 4 eme partie de l'épisode 3. Et oui, deux parties en une journée, vous ne rêvez pas ^^. Je m'étais perdue pendant quelques jours ^^, mais je me suis retrouvée. A vrai dire j'étais pas loin ;). Donc la suite sera en ligne plus rapidement enfin j'espères, parce que je me sens très inspirée en ce moment ^^.
Bon, bah voilà, reste juste à vous dire bonne lecture ;) et n'hésitez pas à commenter, même si je n'y réponds pas forcément, ca fait toujours plaisir ^^.
Incarcération
La jeune femme sortie de chez elle, et s’installa en toute hâte dans sa voiture. Elle ne comprenait pas pourquoi Cavanaught lui avait demandé de venir au poste le plus vite possible. Songeuse, elle arriva au commissariat, et se gara devant celui-ci. Elle esquissa un sourire lorsqu’elle se rappela le nombre de fois où Jane et elle s’étaient fait embarquée leurs voitures lorsqu’elles se garaient à l’endroit interdit. Mais elle la laissa tout de même là, sortant de son véhicule, ses talons claquaient avec rapidité sur le sol. Elle arriva dans l’ascenseur, et tomba nez à nez avec :
- Franckie ! s’exclama-t-elle étonnée. Ce n’est pas ton jour de repos ? demanda-t-elle à l’homme dépité devant elle.
- Si, mais avec ce qu’il se passe avec Jane, je n’ai pas la tête à me reposer, expliqua-t-il. En plus Cavanaught vient de m’appeler, il veut me voir, continua-t-il inquiet.
- Il m’a aussi appelé, avoua la légiste. Ça doit être à propos de Jane, commença-t-elle. Enfin, je serais comme même venue travailler, déclara-t-elle plus pour elle-même que pour le policier. Je ne peux pas rien faire alors que Jane est … sa voix se brisa, elle cacha son visage, et lorsque les portes de l’ascenseur s’ouvrirent elle s’enfuit. J’arrive dans un instant, s’excusa-t-elle. Une urgence, se sentit-elle obligée d’expliquer en mimant une envie pressante, au policier qui la regardait inquiet.
La jeune femme se précipita dans les toilettes puisque telle était son excuse pour s’éclipser, elle se regarda dans le miroir et déglutit. Depuis que Jane avait été arrêté elle n’avait rien pu avaler, cela faisait maintenant deux jours qu’elle se laissait dépérir à petit feux. Avant partir, elle s’était maquillée pour la forme, mais le cœur ni était pas. Elle abordait donc un visage pâle et fatigué qui ne ressemblait pas à son habitude. La légiste décida de se rafraîchir légèrement avant d’aller à la rencontre de Cavanaught. Lorsqu’elle arriva dans le bureau de celui-ci, elle y trouva Franckie, Frost, et Korsak devant le commissaire.
- Le lieutenant Rizzoli vient d’être transférer au centre pénitencier pour femme de Boston West, déclara tristement le commissaire au médecin et aux trois policiers qui lui faisaient face.
- Quoi ?! s’exclamèrent tous en chœur.
- Oui, je sais, dit-il presque en criant pour couvrir le brouhaha qui faisait maintenant place dans son bureau. Moi-même je ne comprends pas pourquoi elle y est transférée si vite, ni pourquoi là-bas, répondit-il aux questions qui fusaient. C’est pourquoi je vous ai tous convoqué, expliqua-t-il. Je veux que vous fassiez votre enquête officieuse, déclara-t-il. Et bien sûr je ne suis au courant de rien de ce que vous faîtes, les avertit-il avant de les inviter à sortir.
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- Laissez toute vos affaires personnelles dans ce bac, s’il vous plait, annonça la gardienne en lui tentant une tenue orange.
Jane alla se déshabiller à l’abris des regards suivis de près par la femme qui était maintenant chargé de la surveiller. Elle retira en premier ses chaussures, ensuite elle déboutonna sa chemise. Plus pudiquement elle enleva son débardeur et son pantalon, elle s’apprêtait à enfiler sa blouse orange mais :
- Toutes les affaires personnelles doivent être déposées dans le bac, expliqua la femme à ses côtés en désignant les sous-vêtements de Jane.
Celle-ci soupira elle attrapa sa chemise afin de cacher sa nudité lorsqu’elle enleva le bas de ses sous-vêtements et se vêtit rapidement de son vêtement de détenue. Ensuite, elle enfila le tee-shirt blanc qu’on lui avait donné et entreprit d’enlever son soutien-gorge après. Lorsqu’elle eut terminé son numéro de contorsionniste, elle plia ses vêtements dans le bac que tenait toujours la femme ses côtés. Elle se donna une consistance en glissant ses bras dans les manches de sa tenue orange, puis en montant la fermeture éclair. Après quelques instants de concentration, elle regarda sa gardienne et lui fit un signe de tête pour lui montrer qu’elle était prête.
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