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Bonjour ! Bonjour ! Je sais que question régularité des postes je suis vraiment vraiment vraiment nulle. Mais le manque d'inspiration, le manque de temps et le manque d'envie, ne font pas bon ménage.
Mais je tiens tout de même à finir cette fic ! Normalement cet épisode sera le dernier, et il aura une fin. x)
Ne m'en voulez pas pitié !! Mais je sais je suis cruelle et j'aime ça x). N'hésitez pas à me dire ce que vous en pensez en bas dans le cadre blanc ^^.
Épisode 4 : "Je ne sais pas encore le titre"
Partie 1 : Éloignement
La policière se réveilla, s'étira et tata le côté du lit de Maura, s'attentant à rencontrer le corps de son amie. Déçue, elle remarqua que la légiste n'était pas près d'elle. Elle se redressa brusquement inquiète. Maura lui manquait déjà. Elle ressentait un vide en son absence. Elle sortit de la chambre, descendit précipitamment les escaliers. Cherchant son amie dans toutes les pièces. Mais ne la trouva dans aucune.
La policière sortie sur la terrasse et trouva la blonde endormie sur une des chaises.
- Maura, chuchota Jane en se penchant vers son amante en lui caressant la joue de son index.
La légiste tressaillit à ce contacte, mais ne se réveilla pas.
- Maura, réitéra la policière, en continuant ses caresses.
Cette fois les yeux de la blonde s'ouvrirent lentement. Lorsque Maura aperçut Jane, elle se releva sans un sourire et partie vers la cuisine.
- Maur' ! S'exclama Jane perplexe devant l'absence de réaction de la légiste.
- Je vais faire le petit déjeuné, lâcha-t-elle sans autre explication en s'éloignant.
Incrédule Jane la suivit jusqu'à la cuisine. Elle tenta une nouvelle approche en voyant son amie s'afférer aux fourneaux. Elle s'approcha derrière elle et la saisit par les hanches en glissant son visage dans les cheveux d'or de Maura. Elle glissa ses lèvres jusqu'au cou de la légiste.
Cette dernière se retira vivement les larmes aux yeux.
- Non, Jane ! Nous ne pouvons pas continuer ! S'exclama-t-elle en retenant un sanglot.
- Déboussolée la policière ne comprit pas cet éloignement si soudain, alors qu'elle pensait que tous allait bien entre elles.
- Maur' qu'est-ce qu'il se passe ?
La légiste sécha ses larmes avant de se retourner vers la policière.
- Nous, ce n'est pas possible, expliqua-t-elle en montrant Jane et elle-même. Nous … nous … nous sommes amies, bégaya-t-elle. Pas ça ! s'exclama-t-elle en désignant ce qu'il se trouvait entoure d'elles. Nous ne pouvons pas, Jane ! Je ne peux pas.
- Mais Maur', je t'aime …
Suite à cette nouvelle déclaration, la légiste se retourna le cœur brisé par ce qu'elle s'apprêtait à dire.
- Mais moi, je ne t'aime pas. Articula- t-elle. Pas comme ça, Jane je ne peux pas ! finit-elle en sortant précipitamment de la pièce, de sa maison pour se réfugier dans sa voiture. Laissant Jane derrière elle.
Quatre heures plutôt…
- Dean, Gabriel Dean … .
Suite à son rêve. Enfin ce souvenir, puisque c'était de ca qu'il s'agissait un souvenir. Maura se leva de son lit, s'éloigna de la policière encore profondément endormie. L'agent Dean, c'était lui qu'elle avait vu dans ce pick up avant avant son accident.
C'était dans ce pick up qu'on l'avait enlevé. L'hypothèse lui faisait mal. Mais elle savait que si l'on excluait l'impossible, ce qui restait. Même le plus improbable faisait partie d'un semblant de vérité. Cela n'aurait pu être qu'un hasard.
Si Dean n'avait rien avoir avec son enlèvement pourquoi était-il dans ce pick up. Cela semblait fou, mais si l'agent du FBI n'avait rien à voir avec Torres. Pourquoi avait-il essayé de la tuer ?
Elle sortit sur sa terrasse pour prendre l'aire elle commençait à étouffer sous l'effet de toute ces suppositions toute aussi improbable. Mais pourtant …
Elle l'avait senti, comme tous ces jours où elle avait l'impression que quelqu'un l'épiait au loin, la surveillait. Avant même de l'entendre, elle le savait.
- Alors vous avez compris ! Se fit entendre la voix de Dean en sortant de l'ombre.
Comprit quoi ? cracha la blonde en se retournant vers l'homme. Pourquoi faîtes-vous ça ?
- Pourquoi ? Pourquoi je fais ça ? Le chirurgien a toujours eu plus de place dans les pensées de Jane. Ma Jane, s'expliqua-t-il. Ce chirurgien nous a séparé, n'a laisser que des souvenirs de lui alors que j'étais avec elle. Elle m'a oublié. Elle ne m'a pas vu, il n'y en avait que pour lui. Alors, alors, j'ai décidé de comprendre, j'ai voulu comprendre ce qu'il pouvait-il y avait d'attirant dans cela donc. J'ai voulu faire comme lui. Pour Jane. Et devinez qui j'ai rencontré ?
- Torres, souffla la légiste.
- Oui, Peter Torres, un très vieil ami, qui je l'ignorais mais était lui aussi très attiré par ça. Je lui ai sauvé la mise plus d'une fois. Donc il me devait bien ça. On s'est alliés, il trouvait les filles qu'il voulait, il faisait sa petite affaire et moi j'étais là de l'autre côté. Je regardais, puis vers la fin quand il se lassait. Je les torturais, je m'amusais, je les brûlais. Et je les laissais là où Jane était censée les retrouver, continua-t-il devant l'air horrifié de Maura. Mais ça n'a marché que pour la dernière, précisa Dean. Et là j'ai eu une idée, une idée brillante, les filles que recherchait Torres ressemblaient toutes à une personne qui était très proche de Jane. Trop proche pour me permettre de l'avoir entièrement à moi.
- Moi, comprit la légiste.
- Oui ! Vous ! Je lui ai donc demandé de vous trouver de faire sa petite affaire. Mais Jane a été trop rapide, elle vous a retrouvé ! Vous vous êtes rapprochez ! Je ne pouvais pas vous laissez faire ça vous étiez entrain de la salir, de la corrompre ! s'énerva l'agent du FBI en faisant les cents pas devant une Maura tétanisée par la peur, et l'horreur. Donc, donc, je l'ai fait arrêter, je me suis fait passer pour un de mes supérieurs avec l'aide de deux de mes collègues corrompus. Ils étaient à mes ordres, Jane ne devait pas sortir de prison avant que je ne l'a libère, avant que je ne devienne son héros, son sauveur. Mais vous ! Encore vous, vous m'avez devancé, vous et vos amis policiers. Vous l'avez libéré, elle est sortie et vous avez continué à la corrompre, à la salir. Lorsque je vous ai vu avec la chienne de Jane, j'ai su ce que je devais faire. Vous deviez être écartée, vous deviez mourir pour que je retrouve mon amour. Mais vous avez survécu encore ! A cause de ce Jones !
- Casey, qu'est-ce que vous lui avez fait ? s'inquiéta la jeune femme.
- Il ne vous aidera plus, sourit Dean. J'ai demandé à mes hommes de l'abattre, il commençait à avoir trop de soupçon sur moi.
- Vous … vous l'avez tué, répéta la blonde les larmes aux yeux. Et maintenant, vous allez me tuer, déclara la légiste en le défiant du regard.
- Vous tuez ? Non, ça ne servirait à rien. Et Jane ne s'en remettrait jamais. Vous allez vivre, ne vous inquiétez pas. Mais vous allez dire à Jane. Ma Jane. Que vous ne pouvez pas continuer cette relation. Vous allez vous éloignez de Jane. Me laisser la place qui m'est destiné et vous n'aurez plus aucun contact avec elle.
- Sinon quoi ? demanda-t-elle en le méprisant du regard.
- Si vous dîtes ne serait-ce qu'un mot à Jane. Elle n'appartiendra plus à personne, ni à vous, ni à moi.
- Jane n'appartient à personne !
- Si Jane ne peut pas m'appartenir, alors personne ne pourra la toucher. Je l'a tuerais.
- Vous … vous tueriez Jane ?
- Je l'a sauverais, et nous pourrions être ensemble dans l'au-delà.
- Qu'est-ce qui a bien pu vous arrivez ? lâcha la jeune femme brisée
- Demain, vous lui diriez que vous ne pouvez pas continuer cette relation absurde salissante avec elle. Sinon, vous savez ce que je ferais.
Dean disparut dans l'obscurité, laissant la légiste seule sur la terrasse. Elle devait quitter Jane, alors que tous semblait parfait. La blonde pleura à chaude larme sur une des chaises de sa terrasse avant de s'endormir d'épuisement. On lui avait offert le plus beau des cadeaux, et maintenant on lui retirait de la manière la plus cruelle.
Alors ? Vous en pensez quoi ? ^^ x)
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